Le forum des 23

avec le frein à main des GS !!!!! façon GOLDORAK GO !!!!!!

vieille ecole a écrit :

(deux chevrons de plus..

Te v'la décoré chevalier de l'ordre du grand CITROEN

Félicitations

il le mérite , mais faut pas aallez au delà des chevrons... pour les étoiles je crois que c'est hutch..

...i mérite i mérite!!?!... heuuuu... moi j'dis ke ya un ptit master de 85 k'on a un peu oublié là!! hein!!?... (...pas vrai Bobby!!?... Boooobby!!!... t'es là?? oh!)...
...
pis y a du SE ki roule toujours pas aussi!! ...
tu parles i mérite!!... lol
...
'skuz nous Sébastien!!... c'est plus fort ke nous, ça dérape souvent!! mdr!
...au fait, un ptit post dans la partie "présentation" se veut de bon aloi ici parait il... ...mais tu es le bienvenu koik'il en soit!!

pourtant SEB c'est bien !!!!

vieille ecole a écrit :
Te v'la décoré chevalier de l'ordre du grand CITROEN

Félicitations

Démasqué! Je suis un peu citroeniste old school aussi
Enfin, j'étais...

Seb, tu vises dans le mille avec le frein à main de la GS
Un morceau d'anthologie automobile pour moi avec le poste vertical entre les sièges et le compteur loupe...


Mano, tu dérapes encore!!

y'avait aussi les poignées interieures de portes qui etaient assez etranges sur les premiers modeles

Les "escargots" comme sur les ami8, j'ai donné aussi

souvenir de mome quand j'etais resté coincé a l'interieur a cause de Ces poignées que je ne parvenais pas a ouvrir

moi la GS des parents avait terminé sur le toit avec moi dedans ....

Vous comprenez maintenant !!!!!!!!!!!!!!

hey les riders !!!!!!!!!!
Si on regarde la question du début ..... ça concerne des stickers Haro !
Alors mois je cris ..... Haro sur la GS !!

Signification

Manifester publiquement son indignation ou sa réprobation envers quelqu'un ou quelque chose.
Désigner quelqu'un (parfois injustement) à la vindicte populaire.
Accuser un innocent, désigner un bouc émissaire.

Explication
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Le terme 'haro', qui ne s'emploie plus maintenant que dans cette locution, a eu plusieurs usages autrefois.

Au XIVe siècle, il servait à exciter les chiens au cours d'une chasse, lorsque le gibier était surpris et que les canidés devaient le poursuivre.
Au XIIIe siècle, il était employé pour marquer la fin d'une foire ou bien la fin de la vente d'une denrée.
Au XIIe siècle, c'était un cri poussé par une personne qui se faisait agresser, ce qui donnait le droit et le devoir aux témoins et voisins de secourir l'infortuné et de capturer le coupable.

C'est principalement de cette dernière utilisation que vient le sens de notre expression puisqu'on y désignait un coupable devant les autres personnes présentes.

C'est encore une fois grâce à Jean de la Fontaine, dans la fable "Les animaux malades de la peste" (), que ce terme a évité l'oubli vers lequel il se dirigeait.
C'est aussi grâce à lui que le baudet en est devenu le complément le plus connu, ce pauvre animal inoffensif y étant désigné injustement à la vindicte des autres animaux comme le responsable de l'épidémie qui s'est abattue sur eux (ceux qui n'ont pas trop fréquenté les radiateurs de fond de classe se souviendront peut-être de la fameuse phrase "ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés"). C'est donc dans cette fable que le baudet est pris pour un bouc (émissaire).

Mille excusse pour ce moment de culture !!!!

tu es plus fou que moi sur ce coup là

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